RSE environnementale : définition, enjeux et mise en œuvre pour les entreprises

Face au changement climatique, clients, investisseurs et collaborateurs attendent des actes concrets. Réduire l'impact environnemental n'est désormais plus une option, mais une nécessité. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) permet ce cadre d'action. Longtemps perçue comme une démarche volontaire, elle s'inscrit à présent dans un cadre légal de plus en plus exigeant. Mais au-delà de la contrainte, elle génère de vraies opportunités : économies d'énergie, image de marque valorisée, équipes plus mobilisées et accessibilité à de nouveaux marchés. Découvrez avec Optimeo ce qu’est la RSE et ses enjeux, avec un focus sur la RSE environnementale et la mise en place d’une démarche performante et efficiente en entreprise.

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Table des matières

En résumé :

  • Définition et cadre : basée sur la norme ISO 26000, la RSE s’articule autour de 3 piliers (Environnemental, Social, Économique). Le volet environnemental vise à réduire l’empreinte carbone, préserver la biodiversité et favoriser l’économie circulaire.

  • Des enjeux multiples : au-delà de la conformité réglementaire, une démarche RSE performante génère des économies (énergie, déchets), valorise l’image de marque et renforce la fidélisation des talents et clients.

  • Méthodologie d’action : la mise en œuvre réussie passe par étapes clés : audit initial, définition d’objectifs SMART, suivi d’indicateurs précis (bilan GES) et implication des parties prenantes.

  • Leviers concrets : la réduction de l’impact passe par la décarbonation, les achats responsables et la gestion des déchets (les 5R).

  • L’approche Optimeo : la RSE permet de concilier bien-être au travail et écologie. Le choix d’équipements ergonomiques éco-conçus (matériaux recyclés, production locale) illustre parfaitement cette synergie entre santé des collaborateurs et protection de la planète.

Qu'est-ce que la RSE environnementale ? Définition et piliers

La définition officielle selon l'ISO 26000

La norme ISO 26000 pose le cadre de référence international. Elle définit la responsabilité sociétale comme la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement

Cette démarche repose sur :

  • Un comportement éthique et transparent
  • Une contribution au développement durable
  • La prise en compte de la santé et du bien-être de la société
  • L’intégration des attentes des parties prenantes
  • Un engagement dans l’ensemble de l’organisation.

Les 7 questions centrales de l'ISO 26000

Pour structurer la responsabilité sociétale, l’ISO 26000 identifie sept questions centrales :

  1. La gouvernance de l’organisation
  2. Les droits de l’homme
  3. Les relations et conditions de travail
  4. L’environnement
  5. La loyauté des pratiques
  6. Les questions relatives aux consommateurs
  7. Les communautés et le développement local.

Les 3 piliers fondamentaux de la RSE

Ces sept questions s’articulent autour de trois piliers complémentaires qui structurent la démarche RSE :

  • Pilier environnemental : réduction de l’empreinte carbone, gestion des ressources naturelles, protection de la biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique
  • Pilier social : conditions de travail, santé et sécurité, diversité, droits de l’homme, dialogue social
  • Pilier économique et gouvernance : éthique des affaires, transparence, performance économique durable, loyauté des pratiques.

 

Les investisseurs et les agences de notation utilisent les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pour évaluer la performance des entreprises sur ces trois piliers.

Les critères environnementaux de la RSE : que mesure-t-on ?

Les critères environnementaux de la RSE permettent de mesurer l’impact des activités d’une entreprise sur l’environnement. 

Ces indicateurs couvrent plusieurs champs d’action : 

  • L’empreinte carbone et les émissions de gaz à effet de serre (GES) : le bilan carbone mesure l’ensemble des émissions directes et indirectes selon trois scopes. Le scope 1 couvre les émissions directes de l’entreprise, le scope 2 concerne les émissions indirectes liées à l’énergie. Le scope 3 englobe toutes les autres émissions indirectes de la chaîne de valeur : achats de biens et services, transport de marchandises, déplacements professionnels, utilisation des produits vendus, fin de vie des produits.

 

  • La gestion des ressources naturelles (énergie, eau, matières premières) : l’objectif est de réduire les consommations et d’adopter des sources renouvelables. Cette gestion s’inscrit dans la transition énergétique.

 

  • La gestion et la valorisation des déchets : le tri, le recyclage et la valorisation des déchets répondent à une logique d’économie circulaire. Le but est de limiter l’impact environnemental et de préserver les ressources.

 

  • La protection de la biodiversité et des écosystèmes : préserver le vivant et les territoires devient de plus en plus essentiel. Les actions pour ce champ d’action regroupent la protection des espaces naturels, la réduction de la pollution et le respect des écosystèmes.

Quels sont les enjeux de la RSE environnementale pour les entreprises ?

Répondre aux obligations légales en RSE : anticiper et se conformer

La responsabilité sociétale des entreprises s’est développée comme démarche volontaire. Pourtant, la France s’est dotée d’un cadre législatif de plus en plus contraignant qui intègre le pilier environnemental.

Les fondements législatifs

Le cadre légal remonte à 2001 avec l’article 116 de la loi du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques. Cette loi initie l’obligation de reporting extra-financier pour certaines entreprises.

La loi PACTE de 2019 : un tournant important

La loi PACTE consolide la RSE via trois mesures :

  • Modification de l’article 1833 du Code civil : toutes les entreprises françaises doivent “prendre en considération” les enjeux environnementaux et sociaux dans la gestion de leurs activités
  • Modification de l’article 1835 du Code civil : les sociétés volontaires peuvent intégrer une raison d’être dans leurs statuts
  • Création du statut d’entreprise à mission pour les organisations les plus engagées.

Le cadre européen : de la NFRD à la CSRD

La France a appliqué une directive européenne de 2014 en publiant l’ordonnance du 19 juillet 2017. 

Concrètement, cela oblige les grandes entreprises à communiquer non seulement sur leurs chiffres financiers, mais aussi sur leurs actions environnementales et sociales.

L’Union européenne a revu ses normes avec la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive). 

Entrée en vigueur progressivement entre 2024 et 2026, elle élargit considérablement le périmètre du reporting de durabilité : dès 2024 pour les grandes entreprises déjà soumises à la NFRD, 2025 pour les autres grandes entreprises et 2026 pour certaines PME cotées en bourse.

Autres obligations

La loi du 27 mars 2017 relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre renforce les exigences. 

Elle astreint les grandes entreprises (plus de 5 000 salariés en France ou 10 000 dans le monde) à établir un plan de vigilance pour prévenir les risques environnementaux et sociaux dans leur chaîne de valeur.

Pourquoi développer une démarche RSE ? Les bénéfices stratégiques

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Développer une démarche RSE répond à de nombreux enjeux et génère des avantages tangibles pour l’entreprise : 

Performance économique

La RSE accroît la performance économique en prenant en compte l’ensemble des facteurs qui contribuent à la prospérité sur le long terme : 

  • L’optimisation de la consommation énergétique permet de réduire les frais opérationnels : isolation des bâtiments, LED, régulation intelligente du chauffage…
  • La gestion des transports et de la logistique diminue les coûts grâce à l’optimisation des tournées et à la mutualisation. 
  • Le traitement efficace des déchets limite les dépenses : tri, valorisation, réduction à la source.

Image de marque et fidélisation

La RSE représente un avantage concurrentiel non négligeable. Elle devient un atout pour la marque employeur et permet de se démarquer auprès des clients. 

Cette démarche fidélise les parties prenantes et attire de nouveaux talents sensibles aux engagements environnementaux et sociaux.

Résilience et gestion des risques

La RSE renforce également la résilience des entreprises face aux crises. Elle permet de prévenir et de maîtriser les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance. 

Par exemple, pendant la crise sanitaire du COVID, les entreprises qui avaient développé des relations solides avec leurs fournisseurs locaux et diversifié leurs approvisionnements ont mieux résisté aux ruptures de chaîne.

Face au changement climatique, les entreprises qui intègrent les préoccupations environnementales dans leur stratégie anticipent les évolutions réglementaires et sécurisent davantage leur modèle économique.

Innovation et compétitivité

La RSE facilite l’obtention de financements, notamment à travers l’investissement socialement responsable (ISR). Elle ouvre l’accès à de nouveaux marchés et stimule l’innovation. 

Les entreprises engagées développent ainsi des solutions durables qui renforcent leur compétitivité sur le long terme !

Comment intégrer l'environnement dans la RSE ? Méthodologie et démarche

Les étapes de mise en œuvre d'une démarche RSE environnementale

Intégrer l’environnement dans la RSE nécessite une méthodologie structurée en plusieurs étapes : 

Étape 1 - Réaliser un audit RSE

L’audit constitue le point de départ. Il implique une analyse approfondie des pratiques sociales, environnementales et économiques. Cette évaluation couvre :

  • L’engagement de la direction
  • L’identification des parties prenantes (employés, clients, fournisseurs, communautés locales)
  • L’analyse des impacts sociaux, environnementaux et économiques
  • La gouvernance en place pour la RSE.

 

Cette phase permet d’identifier précisément les enjeux matériels (c’est-à-dire les sujets RSE prioritaires pour l’entreprise et ses parties prenantes) et représente le moment idéal pour réaliser un bilan carbone initial !

Étape 2 - Définir une stratégie et un plan d'actions RSE

  • Définir un objectif de politique RSE clair, compréhensible par toutes les parties prenantes
  • Établir un calendrier réaliste pour chaque action
  • Prioriser les domaines d’intervention selon leur impact et leur faisabilité.

Étape 3 - Identifier des indicateurs de suivi RSE

  • Quantifier les actions à réaliser
  • Mesurer la réduction des émissions de carbone
  • L’augmentation de l’efficacité énergétique
  • La diminution des déchets.

 

Ces KPIs permettent d’évaluer la progression de la démarche et d’ajuster les actions.

Étape 4 - Former et impliquer les parties prenantes

  • Mettre en place des formations pour sensibiliser les équipes
  • Nommer un responsable RSE pour piloter la démarche
  • Impliquer l’ensemble des collaborateurs dans la mise en œuvre des actions.

Structurer sa politique RSE et fixer des objectifs environnementaux mesurables

Structurer une politique RSE cohérente est indispensable pour transformer l’ambition environnementale en résultats concrets. 

Définir des objectifs SMART

Les objectifs doivent être :

  • Spécifiques : clairement définis et ciblés
  • Mesurables : quantifiables avec des indicateurs précis
  • Atteignables : soutenus par les parties prenantes
  • Réalistes : atteignables au regard des ressources disponibles
  • Temporellement définis : fixés dans un calendrier précis.

 

L’alignement sur les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies permet de s’engager dans une démarche mondiale de transformation. Les entreprises peuvent notamment contribuer aux ODD 7 (énergie propre), 12 (consommation responsable) et 13 (lutte contre le changement climatique).

Choisir les bons indicateurs de performance

Le choix des KPIs environnementaux pertinents selon le secteur d’activité permet de mesurer précisément les performances. Les critères ESG regroupent les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance. Ils constituent la trame des indicateurs à suivre.

Structurer la gouvernance RSE

Une gouvernance solide assure la pérennité de la démarche RSE. Elle implique :

  • La création d’un comité de pilotage RSE
  • La définition claire des rôles et des responsabilités
  • La formalisation de la politique dans un document de référence dédié.

Comment réduire son empreinte carbone ? Quelques actions RSE environnementales concrètes

Réduire son empreinte carbone constitue le cœur de la transition écologique des entreprises. 

La Charte RSE de l’Agence des Participations de l’État fixe comme priorité la transition vers une économie bas carbone avec quatre objectifs clairs : réduire les émissions de CO2, limiter les déchets, favoriser l’économie circulaire et préserver la biodiversité.

L’APE a défini les grandes orientations pour respecter les objectifs de l’Accord de Paris : mesurer l’impact carbone direct et indirect (bilan des GES scopes 1, 2 et 3), fixer des objectifs de réduction des émissions, définir un plan d’action pour les atteindre et présenter annuellement le bilan carbone en gouvernance.

Décarbonation et transition énergétique

La décarbonation des entreprises passe par plusieurs leviers complémentaires : 

  • La transition énergétique (énergies renouvelables, production sur site), 
  • L’optimisation de la mobilité (électrification, covoiturage, télétravail)
  • Et l’économie circulaire appliquée aux achats et équipements. 

Économie circulaire : éco-conception

La loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a renforcé les obligations de reporting en matière d’économie circulaire

Ce modèle transforme l’approche linéaire traditionnelle (extraire-produire-jeter) en un système régénératif qui préserve les ressources et réduit les déchets.

L’éco-conception intègre les critères environnementaux dès la phase de conception et repose sur trois principes : 

  • L’analyse du cycle de vie (ACV) du produit
  • La durabilité et la réparabilité des équipements
  • La sélection de matériaux durables et recyclables. 

Achats responsables et circuits courts

Les achats responsables (par exemple dans le cadre du PNAD) représentent un levier stratégique pour réduire l’empreinte carbone, notamment sur le scope 3 (émissions indirectes de la chaîne de valeur).

Voici quelques actions à mettre en place : 

  • Sélectionner des fournisseurs engagés dans une démarche RSE
  • Privilégier les circuits courts et les matières recyclées
  • Intégrer des critères environnementaux et sociaux dans les appels d’offres
  • Choisir une fabrication locale ou européenne pour réduire l’empreinte transport.

Équipements de travail : concilier ergonomie et éco-responsabilité

Les choix d’équipements au quotidien représentent un levier d’action concret pour associer pilier environnemental et pilier social de la RSE. 

Adopter du mobilier et des accessoires ergonomiques fabriqués avec des matériaux durables permet de concilier prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) et réduction de l’impact environnemental.

Les équipements ergonomiques éco-conçus en matériaux recyclés et recyclables illustrent cette double performance :

  • Empreinte carbone réduite : les matériaux recyclés comme le carton présentent un bilan environnemental favorable comparé aux équipements en plastique ou métal, grâce à leur légèreté, leur matière première recyclée et leur recyclabilité complète
  • Fabrication locale : la production en France ou en Europe limite les transports
  • Économie circulaire : en utilisant de la matière première issue du recyclage et en lui offrant une recyclabilité en fin de vie
  • Santé au travail : prévention des TMS grâce à des postures optimisées.

 

Performance environnementale et bien-être des collaborateurs se renforcent mutuellement : les équipements ergonomiques éco-responsables améliorent la qualité de vie au travail et réduisent l’empreinte écologique.

Gestion et valorisation des déchets

La hiérarchie des 5R structure la démarche de réduction des déchets : 

  • Refuser (ce qui n’est pas nécessaire), 
  • Réduire (la consommation), 
  • Réutiliser (prolonger la durée de vie), 
  • Recycler (valoriser la matière), 
  • Rendre à la terre (composter). 

 

La mise en place du tri sélectif et les partenariats avec des filières locales de valorisation complètent ce dispositif.

Communiquer sur ses engagements RSE : transparence et authenticité

Valoriser ses engagements RSE nécessite une communication authentique et transparente pour construire la confiance avec les parties prenantes.

  • Transparence et honnêteté : communiquer avec honnêteté sur les actions menées, les progrès et les résultats concrets. Assumer aussi bien les réussites que les axes d’amélioration pour éviter tout soupçon de greenwashing.
  • Outils essentiels : rapport RSE, bilan carbone, indicateurs de performance compréhensibles, page dédiée sur le site web : ces supports permettent de présenter des données mesurables et accessibles !
  • Reporting : rendre compte de ses engagements aux parties prenantes (clients, salariés, partenaires, investisseurs) renforce la confiance. 

 

Certaines entreprises sont soumises à des obligations réglementaires selon leur taille. Le Portail RSE aide à identifier ces obligations et à structurer sa communication.

Concilier RSE, ergonomie et QVCT pour une performance durable

La responsabilité sociétale intègre pleinement les conditions de travail et le bien-être des salariés : ergonomie, QVCT et performance environnementale se renforcent mutuellement.

  • Agir en employeur responsable : la Charte RSE de l’APE définit les priorités : promouvoir la diversité et l’inclusion, cultiver le dialogue social, favoriser l’employabilité, faire de la santé et du bien-être au travail une priorité. La loi climat et résilience du 22 août 2021 impose la consultation du CSE sur les conséquences environnementales de l’activité.
  • Synergie environnement et bien-être : un environnement de travail sain bénéficie simultanément à la santé des salariés et à l’empreinte environnementale. 
  • Équipements ergonomiques éco-conçus : le mobilier et les accessoires ergonomiques fabriqués avec des matériaux durables concilient prévention des TMS et réduction d’impact environnemental. Leur durabilité et réparabilité limitent les déchets et s’inscrivent dans l’économie circulaire.
  • Démarche intégrée : intégrer l’ergonomie dans la stratégie RSE globale crée une culture responsable partagée. La formation aux gestes écologiques et aux bonnes postures, le dialogue social et la mesure combinée des indicateurs environnementaux et de bien-être permettent d’évaluer l’efficacité des actions.

Comment évaluer une démarche RSE environnementale ? Indicateurs, audit et labels

L’évaluation rigoureuse permet de mesurer les progrès et de rendre compte aux parties prenantes. Voici quelques exemples de KPIs à mesurer : 

KPIs environnementaux essentiels

  • Émissions de GES : tonnes de CO2 équivalent (scopes 1, 2, 3), intensité carbone
  • Consommation énergétique : kWh, part d’énergies renouvelables, efficacité
  • Gestion de l’eau : volume consommé, taux de recyclage
  • Déchets : tonnage, taux de valorisation, réduction à la source
  • Biodiversité : actions de préservation.

Méthodologies d'évaluation

  • Audit RSE : diagnostic de conformité réglementaire et pratiques
  • Reporting extra-financier : la DPEF offre une vue d’ensemble des performances ESG
  • Bilan carbone ADEME : quantification des émissions selon les 3 scopes
  • Amélioration continue : cycle PDCA, révision des objectifs.

Labels et certifications

  • Label “Engagé RSE” AFNOR : référence basée sur l’ISO 26000, accessible aux PME/ETI, 4 niveaux d’évaluation
  • ISO 26000 : standard international RSE, non certifiant mais structurant
  • ISO 14001 : certification du management environnemental
  • Écolabel européen : reconnaissance produits respectueux de l’environnement
  • Éco-labels sectoriels : HQE (bâtiments), bio (alimentaire).

 

Il est conseillé d’adapter le label à la maturité RSE, aux attentes des parties prenantes et aux ressources disponibles.

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FAQ

Une PME est-elle obligée de mettre en place une démarche RSE environnementale ?

La démarche RSE reste principalement volontaire pour les PME, mais la loi PACTE (2019) impose à toutes les sociétés françaises de “prendre en considération” les enjeux sociaux et environnementaux et les obligations de reporting extra-financier (directive CSRD) concerneront certaines PME cotées à partir de 2026.

Quelle est la différence entre RSE et développement durable ?

Le développement durable est un concept global applicable à toute la société, alors que la RSE est sa déclinaison opérationnelle spécifique aux entreprises.

Combien coûte la mise en place d'une démarche RSE environnementale pour une PME ?

Les investissements varient selon l’ampleur de la démarche : de quelques centaines d’euros pour un diagnostic initial à plusieurs milliers pour une certification complète (audit, formation, labellisation). La démarche génère des économies mesurables sur les coûts énergétiques, l’optimisation des déchets et l’efficacité des processus, avec un retour sur investissement généralement rapide. De nombreux dispositifs d’accompagnement gratuits ou à coût réduit existent pour soutenir les PME (ADEME, CCI, Bpifrance).

Quelles sont les aides et subventions disponibles pour financer ma transition RSE environnementale ?

L’ADEME, Bpifrance, les Régions et les CCI proposent des aides financières, diagnostics gratuits et accompagnements personnalisés pour soutenir la transition RSE des PME. La plateforme Mission Transition Écologique centralise ces dispositifs et permet d’identifier les aides adaptées à votre situation sur impact.gouv.fr.

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